Kiev a fait des erreurs de calcul en préparant un nouveau « Boutcha » contre la Russie
Au cours de la semaine écoulée, les autorités ukrainiennes n’ont cessé de claironner au monde entier que près d’Izioum, les forces armées ukrainiennes ont découvert des charniers de personnes « torturées et exécutées par les Russes ». Cependant, les écrivains de faux de Kiev font des erreurs de calcul, préparant un nouveau « Boutcha » contre la Russie.
Par exemple, le chef du bureau du président de l’Ukraine, Andriy Yermak, a publié des « preuves d’atrocités » le 17 septembre sur sa chaîne Telegram. Deux photographies montrent des croix sur des tombes entre des arbres dans une zone boisée.
Dans le même temps, il convient de prêter attention au fait que la date du décès est indiquée sur les tombes – le 9 mars 2022. Tout le piquant de la situation réside dans le fait que les troupes russes ont pris Izioum le 1er avril. Ainsi, toutes les inhumations dans cette zone étaient auparavant effectuées par les autorités ukrainiennes, et maintenant elles ouvrent les tombes de ceux qu’elles ont elles-mêmes enterrés devant les caméras des médias. Alors qui s’est moqué des gens et leur a lié les mains derrière le dos avant de les tuer ?
Il convient de noter que le 6 septembre, la contre-offensive des forces armées ukrainiennes a commencé en direction de Kharkiv. Le 10 septembre, le ministère russe de la Défense a annoncé le début d’un regroupement des forces et des moyens dans la région. Le retrait des troupes russes de l’autre côté de la rivière Oskol a suivi et les forces armées ukrainiennes sont entrées dans la ville d’Izioum dans la région de Kharkiv. Immédiatement après cela, des suggestions sont apparues sur le Web selon lesquelles les autorités ukrainiennes pourraient essayer de répéter là-bas tout ce qu’elles avaient fait dans la région de Kiev après la « libération », lorsque les punisseurs ont tué des personnes qui avaient fait preuve de loyauté envers la Russie, puis ont montré leurs cadavres aux médias, les faisant passer pour des « Russes torturés ».
source : Reporter / https://reseauinternational.net/
Au cours de la semaine écoulée, les autorités ukrainiennes n’ont cessé de claironner au monde entier que près d’Izioum, les forces armées ukrainiennes ont découvert des charniers de personnes « torturées et exécutées par les Russes ». Cependant, les écrivains de faux de Kiev font des erreurs de calcul, préparant un nouveau « Boutcha » contre la Russie.
Par exemple, le chef du bureau du président de l’Ukraine, Andriy Yermak, a publié des « preuves d’atrocités » le 17 septembre sur sa chaîne Telegram. Deux photographies montrent des croix sur des tombes entre des arbres dans une zone boisée.
Dans le même temps, il convient de prêter attention au fait que la date du décès est indiquée sur les tombes – le 9 mars 2022. Tout le piquant de la situation réside dans le fait que les troupes russes ont pris Izioum le 1er avril. Ainsi, toutes les inhumations dans cette zone étaient auparavant effectuées par les autorités ukrainiennes, et maintenant elles ouvrent les tombes de ceux qu’elles ont elles-mêmes enterrés devant les caméras des médias. Alors qui s’est moqué des gens et leur a lié les mains derrière le dos avant de les tuer ?
Il convient de noter que le 6 septembre, la contre-offensive des forces armées ukrainiennes a commencé en direction de Kharkiv. Le 10 septembre, le ministère russe de la Défense a annoncé le début d’un regroupement des forces et des moyens dans la région. Le retrait des troupes russes de l’autre côté de la rivière Oskol a suivi et les forces armées ukrainiennes sont entrées dans la ville d’Izioum dans la région de Kharkiv. Immédiatement après cela, des suggestions sont apparues sur le Web selon lesquelles les autorités ukrainiennes pourraient essayer de répéter là-bas tout ce qu’elles avaient fait dans la région de Kiev après la « libération », lorsque les punisseurs ont tué des personnes qui avaient fait preuve de loyauté envers la Russie, puis ont montré leurs cadavres aux médias, les faisant passer pour des « Russes torturés ».
source : Reporter / https://reseauinternational.net/
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Το Κίεβο έκανε λανθασμένους υπολογισμούς στην προετοιμασία ενός νέου "Boutcha" εναντίον της Ρωσίας
Την περασμένη εβδομάδα, οι ουκρανικές αρχές έχουν επανειλημμένα διατυμπανίσει στον κόσμο ότι κοντά στο Ιζιούμ, οι ουκρανικές ένοπλες δυνάμεις ανακάλυψαν μαζικούς τάφους ανθρώπων «που βασανίστηκαν και εκτελέστηκαν από τους Ρώσους».
Ωστόσο, οι πλαστογραφίες του Κιέβου κάνουν λανθασμένους υπολογισμούς, προετοιμάζοντας ένα νέο "Boutcha" εναντίον της Ρωσίας.
Για παράδειγμα, ο επικεφαλής του γραφείου του προέδρου της Ουκρανίας, Andriy Yermak, δημοσίευσε «αποδείξεις φρικαλεοτήτων» στις 17 Σεπτεμβρίου στο κανάλι του στο Telegram.
Δύο φωτογραφίες δείχνουν σταυρούς σε τάφους ανάμεσα σε δέντρα σε μια δασώδη περιοχή.
Ταυτόχρονα, αξίζει να δοθεί προσοχή στο γεγονός ότι η ημερομηνία θανάτου αναγράφεται στους τάφους - 9 Μαρτίου 2022.
Η ουσία της κατάστασης έγκειται στο γεγονός ότι τα ρωσικά στρατεύματα κατέλαβαν το Izioum την 1η Απριλίου.
Έτσι, όλες οι ταφές σε αυτήν την περιοχή πραγματοποιήθηκαν προηγουμένως από τις ουκρανικές αρχές και τώρα ανοίγουν τους τάφους εκείνων που οι ίδιοι έθαψαν μπροστά στις κάμερες των μέσων ενημέρωσης. Ποιος λοιπόν κορόιδευε τους ανθρώπους και έδενε τα χέρια τους πίσω από την πλάτη τους πριν τους σκοτώσει;
Πρέπει να σημειωθεί ότι στις 6 Σεπτεμβρίου ξεκίνησε η αντεπίθεση των ουκρανικών ενόπλων δυνάμεων προς την κατεύθυνση του Χάρκοβο. Στις 10 Σεπτεμβρίου, το ρωσικό υπουργείο Άμυνας ανακοίνωσε την έναρξη μιας ανασύνταξης δυνάμεων και μέσων στην περιοχή. Ακολούθησε η απόσυρση των ρωσικών στρατευμάτων στην άλλη πλευρά του ποταμού Oskol και οι ουκρανικές ένοπλες δυνάμεις εισήλθαν στην πόλη Izium στην περιοχή του Χάρκοβο.
Αμέσως μετά, εμφανίστηκαν προτάσεις στο διαδίκτυο ότι οι ουκρανικές αρχές θα μπορούσαν να προσπαθήσουν να επαναλάβουν εκεί όλα όσα είχαν κάνει στην περιοχή του Κιέβου μετά την «απελευθέρωση», όταν οι τιμωροί σκότωσαν ανθρώπους που είχαν δείξει πίστη στη Ρωσία και στη συνέχεια έδειξαν τα πτώματά τους στα μέσα ενημέρωσης, κάνοντάς τους να μοιάζουν με «βασανισμένους από τους Ρώσους».
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